Coopération Congo-Italie : un calendrier de travail chargé pour Denis Sassou N’Guesso à Milan

La ville d’Italie de Milan est à l’honneur, ce 30 avril 2015, à la faveur de son exposition universelle. Denis Sassou N’Guesso, qui prend part à ce grand rendez-vous mondial a du reste quitté Brazzaville la veille. Dans la ville Milanaise, le programme du président congolais prévoit plusieurs rencontres aussi bien qu’avec les autorités locales que les hommes d’affaires Italiens.

Entre le ciel congolais et italien, il n y aucun nuage. Ces deux pays entretiennent des relations de coopération depuis 1968, date à laquelle ils ont établi un protocole de coopération économique et technique. Répondant à l’invitation du président du conseil italien, Matteo RenZi, le président Denis Sassou N’Guesso a été accueilli, ce 30 avril 2015, à Milan où il assiste à l’ouverture de l’exposition universelle milan 2015 placée sous le thème : « nourrir la planète, énergie pour la vie ».

En marge de cette cérémonie, il est prévu de nombreuses rencontres dans l’agenda présidentiel avec les autorités locales et les hommes d’affaires italiens. Déjà l’après-midi, de ce 30 avril, sera l’Hôte du Maire de Milan, Giuliano Pisapia. Une rencontre qui se clôturera par un tête à tête.

Après la mairie de Milan, Denis Sassou N’Guesso accordera son hospitalité aux hommes d’affaires Italiens. Il s’entretiendra d’abord avec l’administrateur délégué de la société pétrolière d’ENI, Claudio Descalzi, et ensuite avec le président directeur général de Total, Patrick Pouyanne.

A noter que, les liens de coopération entre le Congo et l’Italie ont connu un essor en juillet 2012 avec la visite d’Etat du premier ministre Renzi à Brazzaville. Pour renforcer davantage cette coopération, le président Denis Sassou N’Guesso avait effectué une visite officielle de 48 heures à Rome en Italie qui a abouti à la signature d’importants accords de partenariat.

11èmes Africains à Brazzaville : « Le stade et tous les ouvrages que nous avons visité correspondent aux meilleurs standards internationaux » dixit le ministre d’Etat Ghanéen

En séjour à Brazzaville, le ministre d’Etat Ghanéen des opérations, en compagnie de quelques membres du gouvernement congolais, à visité, ce 25 avril 2014 en fin d’après-midi, le site de Kintélé, à près de 20 km dans la banlieue nord de Brazzaville, qui va abriter du 4 au 19 septembre prochains, les 11 ème jeux africains dénommés « Jeux du cinquantenaire ».Devant le presse congolaise, Elvis Afrike- Akarah, s’est rejoui du faite que tous les infrastructures visitées répondent aux standards internationaux.

A quatre mois de la date buttoir du 4 septembre 2015, prévue pour l’organisation des 11ème jeux africains dits « Jeux du cinquantenaire », le gouvernement congolais s’attèle à tenir les délais pour la livraison des infrastructures sportives. Témoin sur le terrain, le ministre d’Etat Ghanéen a apprécié favorablement le niveau d’exécution des travaux:

« …Le stade et tous les ouvrages que nous avons visité correspondent aux meilleurs standards internationaux et je suis sûr que le ministre en charge des grands travaux, jean Jacques Bouya, et le président Denis Sassou N’Guesso peuvent y être fiers. C’est ma première observation.

ces projets et ce sont des projets futuristes. Ici, il ya loin d’imaginer les éléphants blancs, car la vision a été une vision lointaine et la décision a été Ma deuxième observation, c’est qu’il y a eu beaucoup de réflexion derrière prise qu’après les jeux, il y aura un village olympique pour l’utilisation continuelle de ces installations. Et pour cela le président de la République mérite des applaudissements.

Ma troisième observation, c’est que tous ces projets se réalisent dans un environnement démocratique, car pendant que les constructions se fassent, en même temps l’expropriation suit son cours normale sans aucune frustration de la population. Alors, cela est un signe démocratique à encourager, même aux USA, ça ne serait pas passé ainsi. Les populations seraient déguerpies de force. C’est pour cela que, nous appelons les média internationaux de venir au Congo Brazzaville pour tâter la réalité du doigt, car si c’était la guerre CNN, RFI, BBC et les autres média devraient déjà tirer les ficelles.

A noter que, les jeux africains sont un événement qui regroupe plusieurs disciplines sportives tous les quatre ans, précisément un an avant les jeux Olympiques. Dans le cadre du 50 ème anniversaire de ces jeux, deux disciplines sportives crées et pratiquées au Congo feront l’objet de démonstration pendant cette compétition continentale, à savoir le Nzango pratiqué en version féminine ainsi que la boxe des pharaons renovée. Ces jeux sont la propriété des Etats africains qui les organisent à travers le conseil du supérieur du sport en Afrique(CSSA) et sont placés sous le Co-parrainage de l’Union Africaine(U.A) et du comité international olympique (CIO).

 » … et nous, nous portions volontiers de vous soutenir par la voie reférendaire vers la reforme de nos institutions… » dixit les filles et fils du kouilou à la rencontre citoyenne avec Denis Sassou N’Guesso

 Mot des filles et fils du Kouilou prononcé par Anatole Collinet Makosso :

«  Les fils du Kouilou, Monsieur le président, en l’occurrence l’aréopage de ceux qu’on peut considérer comme cadres, sont très honorés de tout ce que vous avez réuni pour aérer  dans votre calendrier ô combien chargé pour nous recevoir. Veuillez accepter, en retour Monsieur le président, nos sincères remerciements. Ainsi  que ceux de tous les partis qui, par notre visite sont venus en réalité voir, à la fois le père de la Nation, mais aussi leur beau fils, faisant presque de cette rencontre, une rencontre familiale.

Excellence, Monsieur le président de la République. Le mérite  de la démocratie est de vous avoir conféré le statut du président de la République. De ce faite, vous êtes le dépositaire de la mémoire de la nation congolaise, une mémoire qui se trouve confronté à un défi majeur, celui de consolider l’unité nationale. Déjà, du 13 au 14 juillet 2014, les filles et les fils du Kouilou, réunis en conclave, se sont largement exprimés sur l’avenir de cette nation dont vous avez la l’honneur, avec notre fille et sœur à vos côtés, la lourde charge de conduire les destinées de ce pays.

Mais que retenir de nos débats souvent âpres, sur la vie politique, économique et socioculturelle de notre pays. Lors de ce conclave de Bouali. Comme vous le savez, Excellence Président de la République, nos relations avant d’être républicaines sont d’abord amoureuses. Ne pouvons donc pas vous cachez de la teneur des débats qui ont alimenté le conclave de Bouali. Débats essentiellement portés sur la municipalisation accélérée de Pointe-Noire, mais aussi  et surtout sur le rêve des fils et filles du Kouilou de voir se réaliser un jour, sous votre magistrature, les projets structurants portant sur, entre autres, le bitumage du Kouilou, la route nationale  numéro 6, sur la construction du barrage de Sounda, la construction de l’université du Kouilou. Les filles et les fils du Kouilou ont émis le vœu et rêve que vous puissiez accorder une attention particulière à ces réalisations.

Excellences, Monsieur le président de la République, au Kouilou nous avons une tradition, c’est celle d’être fidèles à nos engagements. Demander, rappeler, ça ne saurait être exigé, ni faire du chantage. Cela étant dit, les parents tiennent à vous rassurer que depuis le temps que nous nous sommes restés ensemble, vous avez eu notre soutien, nous avons eu l’occasion de le dire à votre Chère et tendre épouse,  notre sort, lors de son dernier séjour à Pointe-Noire, où elle nous a fait honneur de recevoir toutes les sensibilités du Kouilou, autrement dit les hommes d’église et autres dignitaires du pouvoir morales, jeunes et vieux, hommes et femmes , cadres et sans emploi. Toutes les personnes qui lui ont  reçues lui ont rassuré leur soutien  solennellement à son excellence son Excellence président de la République.

Nous vous prions donc, Excellence président de la République, de voir cette rencontre citoyenne comme une volonté des parents de venir vous renouveler ce soutien et vous rappeler que nous avons bel et bien un contrat à vie.  Nous allons-nous engager à nous supporter mutuellement et à nous unir pour le meilleur et pour le pire. Et aujourd’hui, nous allons être comme m

Martin, pas Martin Aimé Coussoud, mais plutôt comme Martin dont l’adage, je cite : «  pour un point, Martin perdit son âme » fin de citation.

Oui, Monsieur le président, qu’on se rappelle de l’adage, croyant récupérer quelque chose de plus important, mais finalement, il finit par s’en rendre compte que c’est quelque chose de peu d’intérêt et qu’il ne parvient même parfois pas à conquérir. Oui pour  un point, Martin perdit son âme. Le Kouilou n’est pas de cette espèce. Le Congo est un pays dont l’histoire s’est écrite avec du sang , nous en sommes tellement conscients qu’il  nous faut prendre le courage de nous arrêter, de réfléchir et de constater qu’il y a un réel problème pour le Congo, celui de concilier justice et dialogue, il y a lieu de sauvegarder gouvernance et partage.

Le conclave de Bouali nous a rappelé la nécessité de réfléchir sur l’avenir de notre pays et de réaliser un Congo plus uni et renaît fondamentalement de ses cendres. Il faut prendre courage d’aller vers lui. Des reformes importantes nous y obligent. Il s’agit d’un avenir largement partagé  au sein des filles et fils du Kouilou. Il est possible que cette démarche qui est la notre revoie des sons discordants. Oui, le peuple du Kouilou, comme tous les peuples, n’est pas sans divergence  d’opinion. La démocratie congolaise a ses contraintes. La diversité des opinions et la véracité des opinions font partie de ces contraintes .Mais au sujet de la reforme de nos institutions, comme le dit l’un d’entre-nous, il ne faut pas confondre les peuples avec les militants. Les peuples ont des idéaux, les seconds ont des ambitions, donc la conquête du pouvoir, mais les peuples ne cherchent à vivre ensemble dans la paix, ils recherchent le bien-être social. Ils veulent les routes, les écoles, les hôpitaux, l’amélioration du panier de la ménagère. Monsieur le président, vous avez beaucoup fait dans ce sens, et nous filles, fils du Kouilou, nous en sommes conscients et profondément reconnaissants .Les revendications des militants, aussi légitimes soient-elles, ils recherchent le pouvoir, les postes. Nous savons, que vous saurez dissocier la voix du peuple et des militants.

Nous sommes le peuple et non militants simples, et pour ceux-là et tous ceux qui décident et qui ne savent quelle partie prendre, nous demandons de ne pas être insensible et comme vous savez le faire pour les emmener sur la voie de la raison, sur la voix du peuple. Et nous, nous portons volontiers de vous accompagner et de vous soutenir dans le bon chemin du dialogue pour parvenir à convaincre tous ces patriotes  à la volonté populaire, aller par la voie référendaire vers la reforme de nos institutions pour une nouvelle république ; oui, une république qui va lier solidarité-consensus-intérêt général-citoyenneté-responsabilité-dialogue et amour partagé ; une république qui inaugure une nouvelle vision politique et une nouvelle conception du pouvoir ; une république où le pouvoir devrait puiser ses ressources dans nos valeurs sociales et culturelles ; une république qui accordera une place de choix au pouvoir moral incarné par les leaders traditionnels ; une république où la décentralisation qui consacrera à chaque département ses richesses naturelles.

 Notre force est dans la mise en valeur de nos ressources naturelles, humaines et morales, celles-ci nous confèrent l’appellation de Nation, mieux encore la République.

Excellence, Monsieur le président de la République, après que vous saura solennellement remis par le président d’organisation du conclave, François Luc Mackosso, détenteur du pouvoir moral. Pour ma part et au nom de tous, Excellence monsieur le président de la République, je dis au nom de tous « merci  », je vous remercie. »

 

 

Green Business : le 6ème forum de Pointe-Noire entend s’investir dans l’économie verte en Afrique centrale

Déontologie professionnelle : camer.be, le prototype de la médiocrité

 

 

Le site camerounais d’information Camer.be manque de professionnalisme. Dans sa dernière livraison, il vient de publier un tract intitulé «  Congo Brazzaville : constitution, Sassou sort le référendum de ses cuisses.»  Une parfaite illustration qui prouve que ce média est le prototype de la médiocrité.

Depuis un certain temps, le site camer.be s’est assigné, malencontreusement, la mission d’écrire sur le Congo, sans respect des normes et éthiques de la pratique du journalisme et sans une connaissance objective de la vie politique de la République du Congo, au point de vouloir confondre ce pays à son Cameroun natal, pays où l’alternance politique n’a pas droit de cité. A ce site de comprendre que la profession de journaliste est un art, donc aucune place pour l’improvisation.                                                                             

Son article, qui est en réalité un tract, parce que non signé, intitulé  CONGO-BRAZZAVILLE : CONSTITUTION, SASSOU SORT LE RÉFÉRENDUM DE SES CUISSES, est une atteinte à l’honorabilité et à la dignité d’un Chef d’Etat.  Orienté et sous la dictée de ceux qui souhaitent le malheur des Congolais, sans être congolais, il s’agit en clair d’une campagne machiavélique visant à désorienter le peuple congolais des sa vision actuelle, celle du travail.

Vision qui est en parfaite harmonie avec l’orientation fondamentale du président Denis Sassou N’Guesso, énoncée le 31 décembre 2014, dans le message de vœux de nouvel an en ces termes : « L’élection présidentielle ce sera en 2016 et les élections législatives en 2017. On a le temps de les voir arriver. Travaillons d’abord. Viendra après le temps des joutes électorales. »

L’occasion était là bien indiquée  pour ce site camerounais de s’approprier la pensée du Chef de l’Etat de l’Etat Congolais,  et en faire une lecture objective. Parce que le métier pour lequel il s’engage, lui apprend que les faits sont sacrés et les commentaires sont libres

Ce tract sur le Congo, loin s’en faut, n’aura jamais la popularité, tant rêvée, en voulant prostituer le métier de journalisme, qui en démocratie, est présenté comme le 4ème pouvoir. Mais, si l’on veut donner à cet article l’image d’un papier de presse, alors son auteur, a le devoir de revoir sa copie.  Ce qui lui permettra de bien cerner les règles élémentaires de sa profession. Fait ainsi, ce soi-disant journaliste aura acquis les techniques rédactionnelles de base du journalisme et améliorer la qualité de ses travaux écrits destinés à la publication.

Ces notions de base, une fois intériorisés, donneront à ce site, en mal de popularité, la matière sur les égards dus à un chef de l’Etat et à la profession du journalisme. Le contraire, et c’est ce que Camer.be fait montre, n’est que poussière de merde, exactement.

Le site Camer.be, qui a encore beaucoup à apprendre sur le métier choisi et sur le Congo, doit savoir, et c’est la règle en démocratie, en République du Congo, contrairement au Cameroun (où Paul Biya est au pouvoir depuis 1982 sans alternance démocratique), c’est peuple, en tant que souverain qui aura le devoir de départager pouvoir et opposition sur le principe de changer ou non la constitution du 20 janvier 2002.

Puisque pouvoir et opposition soutiennent des points de vue qui se valent, présentant ainsi la ligne politique de chaque formation politique. A défaut de consensus sur la question, le souverain primaire s’exprimera par le vote. Démocratiquement n’est ce pas objectif ?

Denis Sassou N’Guesso pourra t-il ou non se repositionner ? C’est bien l’énigme, puisqu’il ne s’est pas encore prononcé sur la question, parce que préoccupé par l’exécution harmonieuse du contrat de confiance avec le peuple congolais

A l’évidence Camer.be, qui se veut porte parole de l’opposition congolaise, ne devrait pas personnaliser le débat. S’il veut s’en occuper, au lieu de s’occuper de la proximité, c’est-à-dire de ce qui se passe au Cameroun, son pays, le fondamental à faire, c’est qu’il se serve de sa tribune, afin de mieux rendre explicite l’enjeu actuel et la promotion de l’Etat de droit en République du Congo.

Aussi aura –t-il fait œuvre utile en appréhendant les valeurs démocratiques et républicaines qui sont au cœur de la démocratie, en construction au Congo, une démocratie qui affirme son attachement au respect des prérogatives du souverain primaire qui est le peuple congolais.

PRONAR en 2015 : la Présidence de la République double la mise avec 28000 plants d’eucalyptus

Une année après la campagne des plantations des institutions lancée par le programme national d’afforestation et de reboisement (Pronar), le personnel de la présidence de la République est reparti encore sur le site de  Bambou Mingali, ce 3 avril 2015, pour mettre en terre 28.000 plants d’eucalyptus, sous les auspices du secrétaire général de la Présidence de la République, Jean Baptiste Ondaye.

La tradition a été  respectée cette année par la présidence de la République. Après 2014, date du lancement de la campagne des plantations des institutions par le Pronar, son personnel vient de réaliser un planting de 28.000 plants d’eucalyptus sur une superficie de 20 hectares, soit le double de la première journée réalisée sur le même site.

Cette performance qui s’inscrit dans le cadre de l’atteinte de l’objectif de « un million d’hectares »  marque l’attachement de cette institution au Pronar et son soutien à la «  vision verte » du président Denis Sassou N’Guesso dans la réalisation de cet objectif.

Pour le secrétaire général de la Présidence de la République, Jean Baptiste Ondaye,  à travers ce geste, quoi qu’anodin d’apparence, son institution se donne les moyens d’inscrire  son nom dans la mémoire collective. « … lorsque dans quelques années nous entendrons bruire une jeune forêt que nous aurions plantée de nos propres mains, nous sentirons que le climat lui-même est un peu en notre pouvoir, et que si dans mille ans, l’homme doit être heureux, ce sera grâce à nous. », a-t-il conclu.

A noter que, près de 90 % des ménages de la République du Congo utilisent le bois comme source d’énergie, et devant les besoins croissants des populations en énergie domestique et produits forestiers, le Gouvernement a lancé le 6 novembre 2011 un Programme National d’Afforestation et de Reboisement en sigle (PRONAR) de un million d’hectares de plantations forestières et agroforesteries notamment pour lutter contre la déforestation et la dégradation des forêts.

Dans la conception du programme, il avait été prévu de mobiliser toutes les forces vives de la nation (administrations publiques, entreprises privées, société civile, ONG, Associations)  à s’investir dans la mise en place des plantations dans les domaines privés de l’Etat.

La mission assignée au Pronar répond à une aspiration, celle de contribuer à l’émergence et à la promotion de l’économie verte en République du Congo prônée par le président Denis Sassou N’Guesso dans son programme de gouvernement.

 

Congo-Angola : Denis Sassou N’Guesso , Hôte du parlement angolais

En visite d’État à Luanda, le président Denis Sassou N’Guesso sera l’Hôte du parlement angolais, ce 31 mars 2015, après son tête à tête à huis clos avec son homologue  José Edouardo Dos Santos et sa visite guidée au mémorial dédié au père de l’indépendance angolais , Antonio Agostinho Neto.

La coopération entre le Congo  et l’Angola jouit d’une parfaite santé. En témoigne la visite d’Etat du president Denis Sassou N’Guesso à Luanda. L’un des temps forts de cette visite sera sans doute sa réception  au Palais des congrès de Luanda où il s’adressera aux députés angolais. Au terme de cette journée du 31 mars, en fin d’après midi, le président de la République quittera Luanda pour Benguela.

Peu avant,Denis Sassou N’Guesso rendra hommage au père de l’indépendance angolaise, Dr Antonio Agostinho Neto, sur la tombe duquel il déposera une gerbe de fleur, avant une visite guidée du mémorial dédié à l’ancien chef de l’Etat angolais décédé le 10 septembre 1979 à Moscou (URSS) à l’âge de 56 ans.

Au sortir du mémorial, le président de la République rencontrera, au palais présidentiel, son homologue José Eduardo Do Santos, pour des entretiens en tête à tête à huis clos. Parallèlement, les délégations ministérielles de l’Angola et du Congo seront en conclave sur les accords de coopération devant donner un nouveau souffle à la coopération entre les deux pays.

A noter que, le président Denis Sassou N’Guesso a foulé le sol angolais, le 30 mars à 16 heures 15 heures, heure locale. Des officiels angolais, conduits par le ministre des relations extérieures, Georges Rebelo Pinto Chikoti, l’ambassadeur du Congo en Angola, Jean-Baptiste Nzangué  et d’autres cadres de l’ambassade l’ont accueilli sur le tarmac de l’aéroport international du 04 février de Luanda.

Ici, le président congolais est venu donner un nouveau souffle à la coopération entre l’Angola et le Congo, avec en filigrane, la nécessité pour les deux pays de toujours frayer le chemin afin de relever ces défis de la consolidation de la paix. Pour cela, le président congolais s’est offert un agenda bien chargé durant son séjour. 

 

 

 

 

Affaire Paolo Benazo : Les hommes de haine mènent une croisade contre Denis Christel Sassou N’Guesso sur Internet

Chaque jour, le nom de Denis Christelle Sassou N’Guesso est tournée dans la boue sur les réseaux sociaux et autres canaux de communication. La dernière en date est une gratuite affirmation  postée sur les réseaux sociaux selon laquelle, un jeune homme nommé Paolo Benazo, accusé de viol sur mineur, aurait été libéré de prison par le député d’Oyo.

Internet est devenu un lieu de confusion où tout se dit contre tout et tout le monde. Les adversaires et les ennemis en profitent pour poignarder ceux qu’ils veulent enterrer, mêmes vivants. Les promoteurs des sites se servent de ce puissant moyen de communication pour régler les comptes à qui ils veulent.

Sans doute parce que fils du président de la République, le député d’Oyo est victime d’une cabale de la part de ceux qui, à bout d’argument, pour le combattre sur le terrain politique, passent par des montages et des mensonges éhontés pour espérer atteindre leur cible, en l’occurrence Christelle Sassou qu’ils accusent maintenant d’avoir fait libérer un « pédophile violeur » du nom de Paolo Benazo.

Il va de soi que ceux qui ont eu la basse initiative d’inventer cette rumeur, ne peuvent imaginer qu’en voulant jeter l’anathème sur un jeune cadre dont la mal chance aura été d’être né d’un père président de la République auront raté leur objectif.

En effet, au regard du crime – le viol n’est ni plus, ni moins  qu’un crime  –   commis, Denis Christel Sassou N’Guesso ne peut pas, un seul instant, agir en couverture d’un criminel.

Tous ceux qui, sur les réseaux sociaux ou ailleurs, vulgarisent cette fausse nouvelle en croyant jeter le discrédit sur sa personne, ne connaissent pas l’homme.

africa-info.org et camer.be : Deux sites internet qui prêtent des intentions à la secrétaire générale de l’OIF

Charles Zacharie Bowao : le philosophe de l’éthique contaminé par la ruse des politiciens prétentieux

bowaooooooooo Après son éviction du gouvernement en 2012, le professeur Charles Zacharie Bowao, ne cesse de verser dans la ruse et la prétention. Ce 18 mars encore sur les antennes de RFI, ce membre du bureau politique du parti congolais du travail (PCT) a perdu le sens de l’obligation de réserve, chère à son parti, en niant toute démarche visant le changement de la constitution du 20 janvier 2002. A la quête sans doute d’une nouvelle étoffe politique, l’ancien ministre de la défense du gouvernement Sassou continue à rendre la monnaie à ceux qui lui ont permis de sortir de l’anonymat, en faisant de lui un grand homme politique. Et pour mieux enfoncer le clou  à son parti, il choisit une journée capitale pour le PCT, le 18 mars date de la commémoration du 38 anniversaire de la mort du président Marien N’Gouabi,  pour réitérer sa prise de position. «  Le coup d’état constitutionnel n’est pas  une chose à laquelle je participerai, je m’abstiendrai » déclare-t-il d’entrée de jeu sur les antennes de RFI. Un manque de respect, dira-t-on, aux textes du parti, car la question a été débattue au sein du PCT lors de la session extraordinaire du bureau politique tenue en novembre 2014 à Brazzaville. Mis en minorité par les autres membres du bureau politique, son point de vue a été battu en brèche. Chose qu’il n’a pas accepté de tout cœur, car se passant pour un homme qui ne se trompe jamais et que tout ce qu’il dit doit être pris comme une vérité d’évangile. Cette attitude qui peut paraitre irresponsable à tout point de vue ne surprend personne. Zacharie Bowao, au nom de la liberté d’expression va donc se soustraire de l’ensemble de la majorité et choisi d’écrire personnellement au président Sassou N’Guesso. Dans sa lettre ouverte publiée sur le net, il a tenté d’expliquer, sans convaincre, comment le débat sur le changement de la constitution, au sein de son parti, était soi-disant vicié par les camarades du bureau politique, qui excellaient, selon lui dans la caricature. Pourtant sur RFI, il a déclaré haut et fort qu’il demeurait membre du bureau politique jusqu’à preuve de contraire. Une chose  très curieuse. Même si dans ses déclarations sur RFI, il prétend ne pas être tenté par l’idée d’être candidat aux présidentielles de 2016, cette prise de position semble vouloir cacher une certaine ambition, si ce n’est  celle de rallier les rangs de l’opposition, qui a fait un chèque à blanc des déclarations du professeur Bowao, ou bien de régler les comptes à celui qui l’a fait parti du gouvernement. En déclarant ouvertement sur RFI qu’il ne permettrait pas au président Sassou N’Guesso de briguer un troisième mandat, le professeur Zacharie Bowao, semble mijoter quelque chose de machiavélique à l’endroit du président Sassou. Sa démarche n’est pas loin de celle de certains opposants qui ont promis des larmes et du sang aux congolais, au cas où la démarche visant le changement de la constitution se concrétisait de fond en comble. Devenu moralisateur et grand donneur de leçons, l’intervention de Bowao sur RFI, de toute évidence, a été un non événement. Elle est apparue aux yeux des congolais comme un plat réchauffé, mais dont le gout n’a pas changé. Ce débat est appelé à évoluer, et l’on attendait que le professeur l’enrichisse davantage en apportant de nouveaux condiments. D’aucuns ont parlé de passage à vide sur RFI, les mêmes choses étant déjà dites auparavant. De l’avis de certains observateurs, le professeur Bowao, étant sortie par la petite porte du  gouvernement continue à mal digérer, ce qui apparait à ces yeux comme une humiliation ou un affront qu’il faille à tout prix laver quelqu’en soit le prix à payer. Même si dans sa lettre ouverte il feint de  déclarer que ces prises de positions ne valaient pas d’être qualifié de revanchard, ce qui est sur et certain que le professeur Bowao apparait comme un homme de raison aveuglé par la ruse  des politiciens prétentieux.